concerts-lectures, lectures
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Just Married
Just Married est un western urbain. On y trouve des voitures, des avions de ligne, des fusées, des visas et des enfants adoptés. C’est aussi un western atomique, plein de saloperies, où l’on catche contre soi-même et où l’on couche avec entrain parce que ça vaut mieux. Les faits se déroulent entre Las Vegas et Guatemala Ciudad. Au pays des merveilles.
Un texte de Frédéric Barbe aux éditions l’Escarbille, nouveauté septembre 2016 ; une création Frédéric Barbe et Marilyne Lacuta (guitares, trompettes, voix et bombes A), durée 35 mn.
Création en prélude au festival des acolytes, le vendredi 16 septembre 2016, à 20h30, à Rezé, 15, rue Alsace-Lorraine, tout au fond de la cour.
entrée libre, bar.
jmcouv32avectrans
Maman solo
Créé lors de l’infime festival 2016, Maman solo parle de ce qui nous est commun.
Maman est morte. Ça arrive. Non ? Tout en plastique. La mort pour rire. La foire. Les manèges. Les baudruches. Souris. T’es sur la photo. Ce soir, c’est toi, Maman. Tu es le Monstre de Foire. Tout le monde vient te voir. Tu es le Monstre de Foire. Aveuglément. — Maman solo est une plongée sonore et poétique dans un univers, ici, celui des mamans mortes.
création, Frédéric Barbe et Hélène Guybert ; texte inédit, Frédéric Barbe.
Les fleurs du Mali de Charles Baudelaire
Concert-lecture d’une durée de 45 minutes environ : un collectif d’artistes pour un travel-poem cadavéré, un récit national désossé, une poésie urbaine fantasque, un shot de musique aux sonorités burlesques.
[les deux volumes des Fleurs du Mali dans le catalogue ici]
[images et extraits sonores du spectacle dans le zoom]
Dreaming bull never sleeps
Cow-poem itinérant des grandes plaines d’une durée de 45 minutes environ, avec piétinements et cavalcades, puissance et intimité : hommage aux bêtes et aux paysans, mémorial de la déglingue bovine, abreuvoir de la vacance et des farines animales réunies, beuglement de la bête, elle, de la force belle du torocalcio à la ola déhanchée à l’épicentre des caravanes, des vachers cosmiques aux évangélistes du cinquième quartier, un beau chantier de bête animale. un texte de frédéric barbe partagé avec deux musiciens.
[suite et écoute dans le zoom]