l’infime festival, 20, 21 et 22 avril 2018, à la motte aux cochons
> avant-première du festival le vendredi 6 avril à nantes
détruire, une passion nantaise ? un débat en forme d’enquête collective
nuit de la géographie / cinquante ans du droit à la ville
le vendredi 6 avril 2018 à pol’n, 11, rue des olivettes à nantes, 19h-00h
Détruire, une passion nantaise ?
Un square, un village d’habitat social, un stade, un CHU, etc., la promesse de la destruction semble infinie. Venez construire avec nos invités une enquête collective sur l’acte de détruire, comment il vient, ce qu’il produit, ce qu’il offre, ce qu’il cache. La nuit de la géographie et les cinquante ans du droit à la ville nous donnent l’occasion de prendre au sérieux les aspects sociaux, environnementaux et intimes de la destruction.
c’était ultra-chouette, merci !
19h > ouverture de la soirée, bar, librairie, DJ arc-en-ciel
20 h > concert-lecture du guide indigène de détourisme et débat en forme d’enquête collective
22h30 > DJ arc-en-ciel et son mix sans issue, bar, librairie, petite restauration par court-circuit
entrée prix libre
> l’infime festival, 20, 21 et 22 avril 2018, à la motte aux cochons, à saint-hilaire-de-chaléons. saint-hilaire-de-chaléons, c’est l’ardèche à 30 minutes de rezé ! et la motte, c’est fou !
l’infime festival indigène de détourisme (de son nom complet) est un festival multi-arts sans subvention organisé par l’association à la criée. cette troisième édition (voir la première édition 2016 et la seconde 2017) se tient cette année à la motte aux cochons, un café associatif magnifique à saint-hilaire-de-chaléons, 9, rue du clos paulet (derrière l’église), dans le pays de retz. localiser.
télécharger le programme prog-infime-festival
SOIRÉE DU VENDREDI 20 AVRIL > indigènes !
ouverture 18h
en continu : salon de lecture/librairie/cartothèque (barnum/jardin), bar
(attention, pas de restauration le vendredi soir, amenez votre pique-nique si vous avez envie)
19h > ouverture officielle du festival, discours et cacahuètes, dans la foulée, impromptus littéraires
(attention, photographie non contractuelle)
20h30 > concert-lecture du guide indigène de détourisme de nantes et saint-nazaire
(bureau de la main d’œuvre indigène, 45 mn, bar)
(attention, photographie non contractuelle)
21h30 > bal italien analogique
(elleux le font si bien, bar)
(attention, photographie non contractuelle)
23h > le punk est-il définitivement mort avec l’avènement du numérique et la dissolution de nos cerveaux dans les réseaux ?
(F*** Google 1er, atelier-performance, grange)
(attention, photographie non contractuelle)
SAMEDI 21 AVRIL > créations !
ouverture des portes 15h
en continu : salon de lecture/librairie/cartothèque (barnum/jardin), restauration les pneus dans le plat
16h conférence gesticulée « La ville est à qui ? Elle est à nous ! »
(1h30, bar)
un voyage à vélo à la découverte de ceux qui font la ville : les promoteurs ? les élus ? les habitants ?
après un tour de france à vélo, frantz nous raconte ce qu’il a découvert avec son camarade mathieu. ces deux urbanistes en quête de sens voient nos villes petites comme grandes subir les mêmes logiques, les mêmes transformations et finir par se ressembler. pourtant, durant leur voyage, ils ont rencontré des dizaines d’initiatives d’habitants qui transforment concrètement leur quotidien.
(attention photo non contractuelle, spectacle en version frantz)
18h30 > chansons de fado contemporain
(30 mn, grange)
hélène guybert et matthieu treilles
(attention, photographie non contractuelle)
19h-21h > apéro et repas
impromptus littéraires
coplas, poésie chantée franco-espagnole
canto hando
(attention, photographie non contractuelle)
21h > concert-lecture « Les effets mère »
(45 mn, grange) cliquez sur l’image pour la présentation
21h45 > chansons de fado contemporain
(30 mn, bar)
hélène guybert et matthieu treilles
(ils nous la refont à l’envers !)
22h30 lecture des lettres au capitaine et autres textes
(isabelle querlé, 45 mn, grange)
(attention, photographie non contractuelle)
23h15 > captain frog and toads
poésie électrique
la voix divague et déraille comme un train express régional. une cantatrice borgne en cavale est signalée sur la voie : ça saigne et ça beugle. promesses en mode crevard. les mots du dictionnaire, les mots de la rue. ceux qui reviennent ruer dans nos chairs. ce français western acide aux variantes dialectales. « je craque une allumette, les mots brûlent. j’envoie. la lumière revient. »
(1h30, bar)
(attention, photographie non contractuelle)
0h30 > marilyne mono : dans un monde trop joyeux, un peu de chansons tristes
(clôture, bar)
DIMANCHE 22 AVRIL >ré-créations !
15H > ouverture
en continu : salon de lecture/librairie/cartothèque (barnum/jardin), restauration les pneus dans le plat (spécial crêpes et galettes le dimanche)
16h > bouille et quenottes, univers poétique à boulotter avec ses papas et ses mamans (0/3 ans)
16h30 > pluies d’ô, univers poétique à partir de 3 ans
(maryèle reyjasse et ses sisters, grange)
(attention, photographie non contractuelle)
17h > sébastien goussin, chanson contemporaine
pas besoin de verlaine ou rimbaud pour accrocher les souvenirs aux mots,
faisons des vies éphémères des moments éternels […]
(45mn, bar)
(attention, photographie non contractuelle)
18h30 > la smala
LA SMALA est un collectif de musiciens réunis autour de chansons françaises festives, engagées, rock, ou tout simplement belles, qui jouent de manière énergique et communicative dans des lieux non commerçants et non professionnels (fêtes de jardin, de quartier, concerts sauvages, bars associatifs, réseaux associatifs, alternatifs…). La formule est modulable, vient qui veut quand il peut.
(1h et plus, bar)
(attention, photographie non contractuelle)
c’est bien, isabelle querlé, février 2017